<CENTER><div class="fondbasique"><div class="intitule">Countryside in the City</div><blockquote>
<a1>Informations sur le groupe de lien</A1>
[b](Tw : Décès)[/b]
Septembre 1992. Des Moines, dans l'Ohio. En ce jour de rentrée scolaire, quatre enfants de six ans qui ne se connaissent pas (ou presque), franchissent tour à tour le seuil de la salle de classe. L'un traîne des pieds ; une autre, émerveillée, regarde tout autour d'elle ; un peu nerveuse, sa voisine agrippe fermement les bretelles de son cartable ; le dernier avance d'un air circonspect. Ils ne le savent encore, mais c'est ensemble, unis et soudés, qu'ils grandiront, se fabriqueront des souvenirs impérissables et contreront les coups durs. Les joies, les peines, petites ou grandes ; le coups de gueule, de cœur et de sang, insignifiants ou importants : c'est à quatre qu'ils les partageront. De la primaire jusqu'au lycée. Chacun a par la suite tracé et suivi son chemin. Dès lors moins étroites, les attaches entre eux n'ont cependant jamais rompues. Malgré les tribulations de la vie d'adulte, ils ont veillé à entretenir leurs rapports afin de consolider leur connivence. Autant et tant qu'ils le pouvaient. Mais la mort s'en est mêlée. Plus que jamais menacée et vulnérable, l'avenir du groupe semble aujourd'hui bien incertain. Cette tragédie resserrera-t-elle davantage leurs liens et leur complicité ? Ou sera-t-elle source de distance, d'éloignement et d'effondrement des ponts ? Ils sont la famille que l'on choisit. Il sont amis ... et parfois plus encore.
<A2>Suggestions d'avatars </A2>
Afin de mettre un visage sur un nom, je leur ai prêté les traits de Jasmine Tookes, Edita Vilkevičiūtė et Arthur Kulkov dans ma fiche de présentation. Mais le choix de la trombine est bien sûr totalement libre.
<A1>Panorama chronologique des liens</A1>
<A2>1992-1996</A2> : Assis en classe l'un à côté de l'autre, [b]Søren et Andrew[/b] s’entendent presque aussitôt comme larrons en foire. Et ce, malgré des caractères et des personnalités diamétralement opposés. Les contraires s'attirent, et de la complémentarité naît l'amitié. Voisins, [b]Erin et Søren[/b] se connaissent pour leur part depuis le jardin d'enfants, et entretiennent des liens privilégiés. Tamaryn (alias [b]Tammy[/b]) est quant à elle un peu plus solitaire et apprécie volontiers faire bonne à part. Ayant besoin de temps pour cerner les gens, il lui faudra quelques mois pour s'acclimater à ce nouvel environnement, et apprécier la compagnie des membres de ce petit trio. Aucun trouble ne vint entacher cette douce période que fut l'école primaire. Hormis peut-être un puéril vaudeville de récréation, où de candides mariages furent à l'origine d'un jeu de chaises musicales - et de quelques tensions - entre les jeunes époux.
<A2>1997-1999</A2> : Vient ensuite le collège. Une ère où les premiers complexes germent et où le mal-être s'insinue chez les tout jeunes adolescents. Des maux qui furent particulièrement prégnant pour [b]Erin[/b]. Désespérée que [b]Søren[/b] continue de la voir seulement comme une amie, elle s'en émeut auprès de [b]Tammy[/b], qu'elle avoue envier. Celle-ci l'extirpe alors de la spirale de la mésestime. Admirative du talent artistique de la jeune fille en fleur, elle estime qu'elle a tout pour elle et absolument rien à lui envier, bien au contraire. [i]"Enfin, est-ce que tu te rends compte ? Avec tes mains tu crées et donnes vie à des choses merveilleuse. Sincèrement, j'aimerais pouvoir en faire autant, et ... et pour une fois être autre chose que "la fille du Maire"."[/i]. Touchée par ces quelques confessions, Tammy manigancera dès lors discrètement et s'improvisera Cupidon, afin que ce grand benêt de Søren ouvre enfin les yeux sur ce qui semble être une évidence : lui et Erin. Mais pour l'heure, le jeune danois suit Andrew comme son ombre. Même lorsqu'il l’entraîne dans des plans qu'il juge parfois de guingois et un peu bancals. En proie lui aussi au mal-être, [b]Andrew[/b] devient un écorché vif. En colère, révolté. Sans trop toujours savoir contre quoi, contre qui ou pourquoi. S'il peut compter sur le soutien de la bande, c'est surtout auprès d'Erin et de ses mots justes, qu'il parvient à trouver un peu d'apaisement et de tranquillité intérieure. En cette période transitoire, tout le monde se cherche, se construit et explore la vie à tâtons.
<A2>2000-2003</A2> : Le lycée. Période propice au réveil des hormones et aux prémices de l'amour. Petit à petit, la longue entreprise d'entremetteuse de Tammy se mit à porter ses fruits. Tout au long de ce cycle, [b]Søren[/b] se montra beaucoup plus attentionné, présent et prévenant avec [b]Erin[/b]. Beaucoup plus tendre aussi. La patience finit toujours par payer. En effet, le souhait de la jeune artiste devient réalité et se concrétise officiellement, lorsque son candide crush l'invite au bal de promo. L'amour n'a pas non plus oublié [b]Tammy[/b]. Comme pour la récompenser d'avoir jouer son intermédiaire sur terre, Cupidon la frappa à son tour d'une de ses flèches magiques. La scène est shakespearienne et digne d'une comédie romantique, avec Katherine Heigel et Bradley Cooper à l'affiche. Tout se passa à la sortie du lycée un jour de pluie. Surprise de ne plus sentir les gouttes d'eau, elle leva alors yeux. La grisaille du ciel était obstruée par un parapluie. [b]Andrew[/b] était là à sa gauche, le regard et le sourire hésitants. Alors qu'ils marchaient tranquillement et discutaient de tout et de rien sur le trottoir, une voiture approcha à vive allure. Instinctivement, il enroula ses bras autour de ses épaules et tourna le dos à la chaussée. Face au bouclier humain trempé des pieds à la tête, Tammy tenta de réprimer son hilarité et dégagea délicatement les cheveux collés sur le front en vis-à-vis. Alors, à la faveur de ces circonstances pour le moins romantiques, et devant tant de gentillesse, elle se hissa sur la pointe des pieds et vint l'embrasser. L'été 2003 restera sans doute comme étant le plus beau que ce petit groupe vécu. Un été fait de ballades et d'activités en [i]double dates[/i], où il profitèrent joyeusement de l’instant présent. Bien conscients que c'était peut-être là le dernier, qu'ils passeraient tous ensemble avant un long moment.
<A2>2004-2011</A2> : Les études, la vie de jeune adulte. Chacun trace et suit son chemin. Les routes divergent et tendent à s'éloigner ? Oui, mais pas complètement. Perché sur son nuage rose, [b]Søren[/b] entreprend des études de Médecine et suit volontiers [b]Erin[/b] à New-York, où elle suit pour sa part des cours aux Beaux Arts. L'amour croît et s'épanouit, à mesure que l'artiste en herbe réquisitionne sa muse masculine comme modèle, pour des travaux de nus picturaux et sculpturaux. Toutefois, il y aura toujours un impondérable qui viendra les empêcher d'établir une relation amoureuse suivie et digne de ce nom (des soucis familiaux, des études chronophages, un travail accaparant ... .). De son côté, [b]Tammy[/b] a mis les voiles pour Boston. Ayant la chance d'être bien née, elle parvient - avec l'aide des relations de son père - à intégrer Harvard, où elle étudie le Droit et le Journalisme. En silence, elle souffre énormément du manque que lui inspire l'éloignement géographique de ses amis. Renouant avec ses tendances solitaires et isolationnistes, elle noie le chagrin en se plongeant à corps perdu dans le travail. Suivant les traces de son père et de son grand frère, [b]Andrew[/b] choisit de s'engager dans l'armée. Rapidement déployé sur le front en Irak, tous - Tammy la première - vivent dans la crainte et redoutent que la force vive du quatuor, connaisse une fin prématurée et un destin funeste. Mais c'est bien Søren qui a le plus de mal à vivre au quotidien, avec la peur que la faucheuse lui ravisse son ami.
<A2>2012-2018</A2> : Entre peur, joies et infortunes : la vie continue. Interne en Chirurgie au Richmond Medical Center, [b]Søren[/b] continue de couler des jours heureux auprès d'[b]Erin[/b], qui travaille désormais au Metropolitan Museum. Seulement, sa tête et une petite partie de son cœur sont ailleurs. Rongées par l’inquiétude, ses pensées sont tournées vers la Syrie, là où Andrew est désormais affecté. Sa résidence en chirurgie quasiment achevée, il lui fait part de sa volonté de s'enrôler dans l'armée entant que médecin. Terrifiée par cette perspective, Erin vacille entre colère, hantise et sanglots ... mais malgré tout, elle comprend. Elle aussi se fait un sang d'encre pour Andrew. Lui qui est tout seul. Loin en plein enfer. Il lui faut quelqu'un pour l'aider à tenir le coup. Un visage cher et familier. Diplômée avec les honneurs, [b]Tammy[/b] vient s'établir à New-York, où elle multiplie les stages dans le monde des médias et de l'information. A l'ombre de son amie, Erin trouve une nouvelle forme de soutien. La complicité est intacte et a survécu à l'éloignement. Ensemble, elles égrènent le cours du temps pour chasser les pensées parasites de leurs esprits et se distraire. Aux rires et aux sorties viennent bientôt s'ajouter des mots et des gestes tendres, qui semblent parfois flirter avec des sentiments dépassant le simple stade de l'amitié. De temps en temps, [b]Andrew[/b] obtient une permission et rentre à New-York. Tous assistent impuissants au changement de sa personnalité. Marqué par les horreurs de la guerre, il devient plus sombre, irritable et désabusé. Affectée par ces changements, sa relation avec Tammy s'essouffle. Les voilà côte à côte. Si proches et si distants l'un de l'autre.
<A2>2018-2022</A2> : Uniquement motivé par la perspective d'être auprès de son meilleur ami, et alors qu'il n'est absolument pas fait pour ça, [b]Søren[/b] se retrouve à jouer du bistouri sous les bombes, au milieu du désert s'étalant aux portes des villes. L'Irak, la Syrie, l'Afghanistan. Partout le même carnage, partout les mêmes atrocités. Et les morts qui ne cessent de s'accumuler. Frères d'arme, amis, civils, confrères ... . C'en est trop. Il lui faut retrouver un peu d'amour, un peu de tendresse, un peu d'humanité. Et c'est dans les bras d'[b]Andrew[/b] qu'il sèche ses peines et se sent redevenir vivant. Presque en sécurité, lorsqu'il s'endort le soir blotti tout contre lui. Andrew qui s'affole, s'emballe et rêve à de grands projets [i]"lorsque tout cela sera terminé et qu'ils seront rentrés"[/i]. Une maison. Celle avec le jardin, les volets bleus et la petite remise. Une maison remplie par les cris et les rires des enfants. Tous attablés dehors les dimanches pour un barbecue. Les cheveux blancs qu'ils se feront, lorsqu'en grandissant les marmots sortiront et qu'ils les attendront de pied ferme, à la fumée du couvre feu. S'aimer et vieillir ensemble. Rien que tout les deux ? Non. Le soldat n'arrive pas à concevoir cette chimère, sans y inclure les filles. Un rêve, un idéal, une utopie. Folle, insensée, et pourtant si merveilleuse, que Søren s'y raccroche comme un naufragé se cramponnant à une bouée. [b]Tammy[/b] n'est pas bien loin. Correspondante au Moyen-Orient pour la NBC, elle couvre l'actualité sur le front et informe chaque jour ses concitoyens sur l'évolution de la situation. Parfois, entre deux prises d'antenne, elle croise en coup de vent les garçons. Avec son portable, et si le réseau et le décalage horaire le permettent, ils passent un appel en visio à [b]Erin[/b]. Toujours à New-York, elle tient désormais sa propre galerie d'art, où elle expose quelques unes de ses créations et celles de jeunes artistes. Ces appels sont de véritables cadeaux qu'elle savoure et ne manquerait pour rien au monde. L'espace d'un instant, c'est comme si rien n'avait changé. Comme si tout était exactement comme avant. Comme cela devrait toujours l'être. Eux quatre, et c'est tout.
<A2>2022 - ...</A2> : Dix-neuf ans après l’inoubliable été de 2003, le drame s’abat sur la fine équipe. Pris dans une embuscade tendue par les talibans en Afghanistan, [b]Andrew[/b] tombe au combat. Malgré tout son savoir et ses compétences, la gravité des blessures est telle que [b]Søren[/b] échoue à garder le Major Turner en vie. La nouvelle ne tarde pas à gagner l’autre côté de l’Atlantique. Dévastée, [b]Tammy[/b], ivre de douleur, hurle à en fendre la pierre. Les mains plaquées sur la poitrine, elle suffoque et défaille, tandis qu’[b]Erin[/b] s’emploie désespérément à la calmer et la réconforter. Retour à Des Moines du quatuor, désormais orphelin d’un de ses membres. Recueillis autour du cercueil avant la mise en bière, le trio se serre, se presse et fait corps devant la dépouille meurtrie de leur ami. Puis, ils prennent place dans la petite église pour assister à la cérémonie des obsèques. Assis quelques bancs derrière la famille éplorée. Les mains se serrent, des baisers se plantent ici et là sur leur revers. Des larmes roulent et s’écrasent sur les phalanges. Les têtes lourdes prennent appui sur les épaules voisines. Avec une force venue d’ailleurs, et qu’Andrew leur a sans doute prêté depuis là-haut, ils trouvent le moyen de dire quelques mots devant l’assemblée pour lui rendre un dernier hommage. Depuis, les discussions enjouées et les rires ont cédé la place au silence et à la mélancolie. L’ombre du souvenir qui plane au-dessus de leurs têtes, combinée la présence impalpable d’Andrew, attisent la gêne et le malaise. Pourtant réunis à New-York désormais, les amis se côtoient et n’échangent que très occasionnellement. A compter de ce jour, [b]Erin[/b], d’ordinaire si inspirée, n’a plus réussi à créer quoi que ce soit. L’argile reste à l’état de bloc, les canevas demeurent désespérément vierge. Elle découvre un mal qui lui était jusque là inconnu. Celui du vide et de la page blanche. Même si elle assure, à qui veut bien l’entendre, [i]"qu’elle va mieux maintenant"[/i], [b]Tammy[/b] est bien loin de se porter comme un charme. Présentatrice du journal télévisé, elle apparaît tous les soirs très amaigrie aux millions de téléspectateurs de la NBC. Ses sourires sont faiblards, emprunts de détresse et de tristesse. Le maquillage et l’éclairage flatteur du plateau, ne parviennent pas toujours à camoufler les cernes autour de ses yeux. Des yeux parfois rougis, et qui ont trop pleurés avant la prise d’antenne. De son côté, [b]Søren[/b] tente d’aller de l’avant en se consacrant au petit garçon qu’il a adopté. Papa à plein temps et chirurgien au Richmond Medical Center, il ne marche pas l’économie et ne ménage pas ses efforts. Il s’oublie et s’obstine à rester actif, afin d’occuper son esprit et repousser les tourments que lui vaut son PTSD, depuis sa mise à l’écart de l’armée. Bien que rare désormais, il lui arrive de retrouver Erin de temps en temps. A la terrasse d’un café. Ou dans l’intimité de son atelier, en souvenir d’un bon vieux temps, qui leur fait à présent plus de mal que de bien. Tout deux se font beaucoup de souci pour Tammy. Ensemble, ils réfléchissent à un moyen de l’aider à remonter la pente. Pourquoi pas partir tout les trois en vacances à la montagne cet hiver, dans le chalet que les parents de Søren ont dans le Colorado ?
<a1>Roles proposés au sein du groupe</A1>
<A2>Tammy</A2> : Tamaryn (a.k.a Tammy) est l'épicurienne et la militante du groupe. Fille de notables, elle est issue d'un milieu privilégié. Solitaire, il lui faut du temps pour apprendre à connaître et bien cerner les gens. Loin d'être dupe, elle tient à s'assurer que ses semblables l'apprécient pour ce qu'elle est entant qu’individu, et non pour son statut. Si elle affiche tout les signes extérieurs de la princesse et de la petite poupée, elle n'en a en revanche absolument pas l'attitude. Incapable de supporter la méchanceté gratuite, elle fustigeait et remettait sans ménagement à leur place, les chipies et les brutes qui s'amusaient à rudoyer les autres élèves. Et parce qu'elle était populaire, influente et plutôt jolie : sa parole avait du poids et on l'écoutait. Les bourreaux cessaient de tourmenter leurs victimes, qui lui étaient timidement reconnaissants. Citoyenne investie et concernée, l'accès pour tous à l'instruction et à l'information, sont deux de ses grands combats. [b](libre)[/b]
<A2>Erin</A2> : Erin, c'est l'artiste et l’esthète de la bande. Dotée d'une imagination débordante et féconde, elle a mille-et-une idées à la minute. Les jours de pluie, c'est toujours elle qui trouvait les meilleures activités, pour que le quatuor puisse passer le temps. Enfant de la classe moyenne, elle vient d'une grande famille de mélomane. Respectivement chanteuse de gospel et saxophoniste, ses parents l'ont très tôt sensibilisé à la musique, et à l'art en générale. Son esprit turbine à deux milles heures. En cela, elle bat le fer tant qu'il est chaud, et s'affaire sur tout les fronts en multipliant les projets créatifs. Parfois difficile à canaliser, cette débauche d'énergie met souvent mal son sens de l'organisation. Le chaos qui règne dans son atelier peut en attester. De là à dire qu'elle est bordélique sur les bords ... il n'y a qu'un pas qu'il serait très tentant de franchir. Dotée d'une âme de mécène, elle aide les jeunes artistes a révéler leur talent, et s'implique dans la promotion de leurs œuvres auprès du public. [b](libre)[/b]
<A2>Andrew</A2> : Andrew, c’était le meneur du groupe – même s’il n’a jamais apprécié ce terme. Descendant de lointains immigrés russes, la vaste majorité des membres de sa famille, font soit partie des forces de l’ordre, soit de l’armée. Chez les Turner, le témoignage de reconnaissance envers leur patrie d’adoption, se transmet de génération en génération. N’y échappant pas, il marcha donc dans les traces de son frère et de son père, et s’enrôla dans l’armée sitôt qu’il fut en âge de le faire. C’était un grand idéaliste, qui croyait dur comme faire en la possibilité d’un monde meilleur. L’injustice et les inégalités étaient des fléaux qu’il avait en horreur. Tout comme la violence, la haine et la cruauté, qui animent les Hommes les plus méprisables. Franc et entier, la gestion de ses émotions a toujours été quelque chose de laborieux pour lui. Empathique et polyamoureux, il a vécu par et pour les siens. Décédé dans sa trente-cinquième année, il laisse derrière lui le souvenir d’un homme intègre et probe. Avec des principes et des convictions solides. Aussi bien dévoué à son pays et ses frères d’arme, qu’à sa famille et ses amis. [b](pnj, personnage décédé)[/b]
<A2>Søren</A2> : Même si c’est objectivement très loin d’être le cas, Søren passe pour l’intello et la grosse tête, au sein de cette joyeuse clique. Elu à l’unanimité grand ordonnateur des révisions, c’est lui qui motivait les troupes et prenait en charge la direction du bachotage, en période d’examen. Ensemble quoi qu’il arrive. Tel était le mot d’ordre. Hors de question pour lui que l’un d’entre eux loupe le coche ou reste sur le bas-côté de la route. A l’image du philosophe Kierkegaard, dont il partage le prénom, c’est un cérébral qui réfléchit, gamberge et cogite sur un tout un tas de choses - futiles ou importantes. Parfois trop, à en croire ses amis. Calme et discret, il aime analyser et comprendre le fonctionnement des choses qui lui échappent. Pourvu d’une grande curiosité intellectuelle, il s’intéresse et s’informe sur des sujets divers, variés et hétéroclites. A l’image de ses goûts. Altruiste et très exigeant envers lui-même, il prend trop souvent les choses à bras le corps et a du mal à ne pas s’impliquer émotionnellement parlant auprès de ses patients. Pédagogue, il a plaisir a former les jeunes internes en chirurgie, auprès desquels il possède un certain capital sympathie et une bonne cote de popularité. [b](pris)[/b]
<A1>Info complémentaires & évolution </A1>
Bonjour ! Avant tout, je te remercie (et te félicite xD) d’avoir pris le temps de me lire. Si ton intérêt subsistes et que tu désires un petit complément d’infos, alors tu es au bon endroit.
Je tiens à préciser que rien n’est gravé dans le marbre. Des éléments sont là à titre d’exemple (prénom, nom, fc, métier, caractère, famille, background personnel etc.) et peuvent bien sûr être sujets à modifications. Ils servent d’illustration et donne un peu de corps à la trame/l’intrigue/l’ambiance générale, ainsi qu’ la relation qui unit les personnage entre eux.
En partant de petits détails tout bête lors de la rédaction de ma [url=][u]présentation[/u][/url], j’ai imaginé une espèce d’histoire chorale en parallèle mettant en scène quatre personnages (les rubriques [i]"enfance"[/i] et [i]"premiers amours"[/i] du second poste sont les plus éloquentes).
Quatre amis donc, qui ont partagé ensemble les bonheurs et les malheurs que la vie leur a envoyés. Il y a eu des rires, des délires, des joies, bien sûr. Mais aussi des coups durs, des tensions, des périodes de froid et des prises de becs. Sans qu’il n’y ait cependant de différend irrémédiable et de désaccord majeur. Ce sont devenus quatre âmes sœurs, pour qui l’amitié et l’amour se confondent et ne font qu’un.
Je trouve que cela pourrait être intéressant de voir comment ce groupe évolue, maintenant qu’ils ne sont plus que trois. Est-ce qu’il vont se rapprocher encore davantage et se soutenir pour remonter la pente ? Ou au contraire s’éloigner, s’isoler, perdre tout contact, voire s’écharper ? Ca, il n’y a que l’avenir et le feeling irp que nous le dira.
N’hésite surtout pas si tu as la moindre question.
En espérant te voir très vite débarqué.
Encore merci d’être passé par ici et à très bientôt peut-être.
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Eryn O'Hare 
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